Do signification »
Uchi deshi »
chacun à sa place :
Morihei Ueshiba, Kisshomaru Ueshiba, Nobuyoshi Tamura,
Masamichi Noro, Yoshio Kuroiwa, Kazuo Chiba
Uchi deshi »
Aïkido traditonnel
c'est la transmission d'un savoir de "maitre à disciple",
Uchi deshi »
Aïkido traditonnel
Le maitre du dojo aïkido bressan"
Alain Peyrache
Si on a à l'esprit ce qui précède "Reishiki" à un sens, sinon
c'est un contrainte qui n'a aucun sens, ni intérêt.
La démarche dont l'objectif est la réalisation de soi-même en conformité avec le tao.
Clairement pas la satisfaction de l'égo du consommateur.
- Le consommateur pense que :
- Le maitre est à son service
- Qu'il n'a aucun droit
- lui peut choisir son dojo, son professeur etc.
- Toujours se rappeler :
-
Si l'élève choisit son maitre... le maitre lui choisit ses élèves
Un exemple parmi d'autres
Si on demande à chaque cours lorsqu'on est en retard "l'autorisation de monter sur le tatamis"
c'est qu'à tout moment le maitre peut vous demander de prendre la porte.
Comme pour quitter le tatamis il faut l'autorisation du professeur.
C'est la démonstration : qu'un élève ne fait pas ce qu'il veut dans un dojo.
C'est normal il est chez le maitre...
Certains l'oublient très vite ou ne le savent pas.
Qui détient la voie (do) dans un dojo ?
Un des fondements de l'enseignement de Me Tamura et que beaucoup de ses élèves n'ont pas compris comme on peut le constater, trop occupé à satisfaire la mode du moment.
Une seule personne le maitre (il n'y a qu'un maitre dans un dojo)
c'est la voie de ce maitre que l'on vient étudier.
On ne vient pas pratiquer du sport dont tout le monde sait en quoi il consiste.
Mais un art et tout une vie ne suffira pas à l'apprendre, la voie est infinie...
"montei, monka, monjin... "
Désigne l'élève d'aïkido,
Le pratiquant ou le disciple du maitre, c'est celui qui reçoit l'enseignement du maitre, en clair c'est l'élève qui sollicite l'enseignement du maitre et pas l'inverse.
C’est le maitre qui ouvre ou pas la porte du dojo, et ce n'est pas non plus parce que vous êtes déjà rentré que vous rentrerez toujours... Comme le maitre d'école qui décide si l'élève rentre ou pas...
C'est pourquoi lorsqu'on arrive dans dojo ou en retard on attend l'autorisation du maitre de rentrer. Cela est fondamentale dans toute pratique d'art martial japonais, l'essence même de la discipline
Demander à faire partie du dojo
- Nyumon : franchir la porte du dojo (être accepté)
- Mon tei, Mon jin : qui a passé la porte
- Mon ka : sous la porte
- Deshi iri : être accepté comme élève du dojo
-
- Ensuite on doit savoir où est sa place dans le dojo, les limites physiques, compétences etc.
- Monzen baraÏ : être renvoyer du dojo pour faute grave.
Un vrai maitre ne vous reprendra jamais nulle part.
La différence entre pratiquant et "consommateurs"
Le pratiquant ou le disciple du maitre c'est celui qui reçoit l'enseignement du maitre,
en clair c'est l'élève qui sollicite l'enseignement du maitre et pas l'inverse les consommateurs l'oublient ou ne l'imagine même pas
persuadé que "le client à toujours raison" ...
Il vous diront même que c'est pas moderne et actuel voir moyenâgeux afin de s'emparer du pouvoir chez le maitre....
Les associations en tous genre sont victime de ce genre d'individus esclave de leur égo incontrôlable et personne n'en veut.
Les dojos n'échappent pas à cela et se débarrassent très vite de ces gens qui vont très polluer
la discipline et remplacer l'aïkido par leur propre règle voir s'improviser professeur leur délires n'a aucune limite.
c'est maitre qui ouvre ou pas la porte du dojo ou pas et quand il veut ce n'est pas parce que vous êtes déjà rentré que vous rentrerez toujours...
Comme le maitre d'école qui décide si l'élève rentre ou pas...
C'est pourquoi lorsqu'on arrive dans dojo ou en retard on attends l'autorisation du maitre de rentrer.
Cela est fondamentale dans toute pratique d'art martial japonais l'essence même de la discipline
Aïkido art martial et sport martiaux 2 pratiques à l'opposé à tous les niveaux
La différence entre un sport martial qui n'a pas de maitre mais des champions qui se pratique dans un club, tout le monde en connaît le fonctionnement
et un art martial qui se pratique dans un dojo avec un maitre qui n'a pas de fédération mais des écoles ryu en japonais.
Dans le cadre de l'aïkido un dimension culturelle et pas juste une pratique physique.
Le but du sport est de valoriser son égo devenir le plus fort le champion...
le but de l'art martial est exactement l'inverse maitriser son égo qui est à l'origine de toutes ses erreurs et comme il s'agit
d'un art de guerre (martial dieu mars dieu de la guerre ) la sanction d'une erreur est la mort.
Personne atteint du syndrome d'égo obésité, persuadé d'avoir raison même quand
il ignore tout il cherchera toujours à détourner partout où il se trouve les gens et les activités à son propre profit...
Clubs sportifs ou associations et dojos même humanitaires on affaire à ce genre de délirants personnages sans scrupules et chacun
les traitent selon leurs fonctionnements.
Ils sont des nuisances... la question n'est pas comment faire pour ne pas en avoir,
mais quand aura ton affaire à ce genre de "malades".
A chacun d'être vigilant et de les repérer rapidement afin de limiter leurs nuisances.
les consommateurs l'oublient ou ne l'imagine même pas
persuadé que "le client à toujours raison" ...
Il vous diront même que c'est pas moderne et actuel voir moyenâgeux afin de s'emparer du pouvoir chez le maitre....
Les associations en tous genre sont victimes de ce genre d'individus esclave de leur égo incontrôlable et personne n'en veut.
Les dojos n'échappent pas à cela et se débarrassent très vite de ces gens qui vont très vite polluer l'enseignement du maitre et
la discipline et remplacer l'aïkido par leur propre règle voir s'improviser professeur leur délires n'a aucune limite.
Vous êtes membres de quelle fédé vous demandera le sportif martial ?
Vous êtes élève de quel maitre ?
Vous demandera un budoka
ou un pratiquants d'arts martiaux traditionnel
(une fédé n'a aucun sens, ça n'existe pas voir image à gauche).
Le cas du sport
une pratique normalisée, sans intérêt, caricaturale, afin de pouvoir comparer les performances et savoir qui est champion ? Tous à égalité, objectif du sport "comparer les pratiquants".
(Jeux du cirque comme les romains destinés à satisfaire les masses populaires
avec dopage organisé par Poutine)
Dans l'autre cas un art
avec chaque maitre qui fournit son apport sa sensibilité
et sa richesse à la discipline objectif de l'art améliorer tous les jours sa connaissance de l'art.
Si le maitre est central le champion n'a aucun sens (pour une élite). Un mélange des 2 est impossible il faut faire un choix...
La filiation maitre-disciple (voir images à gauche)
Comme on le voit explique la place de chacun dans cette hierachie pyramidale.
Au niveau du dojo mais aussi dan sl'historique de l'aïkido.
Une structure fédérale sportive n'a aucun sens, ni existence dans ce cadre traditionnel.
La preuve que c'est n'importe quoi le seul effet c'est de dénaturé l'aÏkido.
Faire perdre les repères aux pratiquants qui agissent en sportif (et c'est péjoratif)
au lieu de budoka et d'aïkidoka dans ce contexte.
Les sports martiaux qui ont perdus ces notions du fait de leur fonctionnement sportif,
affiche sur les murs ce qu'ils doivent faire alors que cela devrait être l'essence et l'originalité
de leur pratique.
L'illusion l'incapacité à assumer ses erreurs, croyance que l'on peut faire tout et son contraire le refus d'assumer qu e'lon est des sportif,
des footballeurs qui font des techniques martiales.
Ridicule dans les 2 cas comme sportif et comme budoka...
le prix de l'incohérence et de l'ignorance et de la bêtise.
Le sportif qui se livre au cargo culte... le début du karaté zumba...
Un "dojo" c'est donc l'inverse d'un "club sportif" CQFD
Un club sportif on vient y pratiquer un sport, former des champions
un endroit où il n'existe pas de maitre, juste des entraineurs,
des cadres sportif fédéraux,
Etre agrées Jeunesse et sports
(son rôle est de règlementer les compétitions...)
c'est obligatoirement être "sportif"
et pratiquer un sport martial...
et ne pas pratiquer un art martial, donc ne pas faire d'aïkido traditionnel.
C'est l'évidence même.
Ce qui n'existe dans un "dojo d'aïkido traditionnel" celà n'aurait aucun sens.
"Un maitre, un dojo, des élèves (deshis)"
Le prix à payer pour être sportif... être autre chose qu'un pratiquant d'aïkido, un sportif martial ...
En effet un fonctionnement jeunesse et sport ou fonctionnement sportif est
à l'opposé de ce fonctionnement, les repères et hiérarchie sont à l'opposé.
Exemple les images à gauche ci-contre
Impossible pour un sportif de savoir où est sa place sur un tapis ?
Qui est son sempaï, donc comment saluer son vis à vis?
Qu'elle est sa filiation avec le fondateur?
Il l'ignore elle est pourtant obligatoire.
Le professeur autorise ou pas l'entrée dans son dojo et sur le tapis
cas où l'on est en retard.
Sauf que dans le merveilleux monde sportif de l'agrément jeunesse et sport
cet agrément vous oblige à accepter tout le monde car vous représentez l'état
(agrément poulet du Gers de l'état).
On ne peut pas être école publique est école privée en même temps...
Avoir les avantages sans les inconvénients.
Un professeur qui est l'employé de sa fédé, de son comité directeur de club,
peut t'il interdire (en tant qu'employé) l'accès au tatamis à un de ses patrons ?
bien sur que non...
et le patron le sait, difficile de lui refuser un grade...
C'est pourquoi un club sportif ne peut pas faire de l'aïkido traditionnel ou alors
c'est de l'arnaque...
Comme on ne peut pas faire des produits bio avec des produit chimiques industriels
et OGM "Monsanto"...
Ceux qui veulent faire de l'aÏkido un sport
sont ils des menteurs ou des ignorants..? ou les 2... ?
Le mouvement Kodokan finit par s’ériger en fédération...
Cela fut une grande erreur.
À l’époque, les seules structures envisageables dans le domaine sportif
étaient celles d’une Fédération.
Nous passâmes donc par-là, et cela fonctionna de façon satisfaisante... du moins au début
Si la dégénérescence s’érige sur la notion de quantité qui brouille
toutes les cartes, cette dimension ne présente rien de commun
avec celle de la qualité, à laquelle elle porte préjudice.
Trop de compétitions tuent la qualité, dans la mesure où
elles deviennent la seule finalité.
Levannier (Judoka conscient)
On peut rajouter que si les fédérations martiales sont dirigées tôt ou tard par d'anciens champions cas du judo, du karaté ils reproduiront ce qui a fait leur valorisation...
Ne parlons même pas de l'exploitation de leur popularité en tant que ministre pour des raisons électorales...